Cette année, les fêtes de Pâques auront une saveur spéciale. Nous serons encore en confinement à cause du Covid-19.
Cela signifie que nous ne verrons pas nos enfants, nos petits-enfants et nos amis.
Bien sûr cela m’attriste mais, nous devons garder la tête haute… Puisque nous ne pouvons pas aller en Provence, j’invite la Provence à ma table avec ce dessert d’autrefois.
Datant du début du XVIIIe siècle, ce sablé était servi traditionnellement pour Pâques, un peu partout dans l’arrière pays provençal. Aujourd’hui, il n’existe plus qu’à Crest, petite cité drômoise.
La Couve tire son nom de sa forme : un nid de poule avec ses œufs.
C’est une galette épaisse d’environ 2 cm, sans levure, où des boules de pâte ont été ajoutées : au centre pour symboliser la poule et les œufs tout autour.
Il semblerait que la Couve ait inspiré la recette du Suisse de Valence créé en 1799.
Ce sablé régalera petits et grands… Moi, je l’ai dévoré comme ceci :
Je vous souhaite de Bonnes fêtes de Pâques… Et d’ici notre prochain rendez-vous, régalez-vous ! Moi, c’est déjà fait.
Sources :
Mairie de Crest : https://www.mairie-crest.fr/IMG/pdf/desserts.pdf
Images : collection personnelle
Infographie : Canva
Hmmm ! C’est bien tentant et superbes les illustrations de la recette 🙂
Merci Nat !
Miam ! Cela donne une idée de gâteau pour dimanche prochain !
(Par contre il y a l’avant-dernière image qui n’apparait pas )