ChallengeAZ… Histoires enfouies…

Ici la malle…
Aujourd’hui, je me pose des questions quant au bien fondé de vos recherches…

En fouillant le passé de vos ancêtres, vous vous demandez si cela est bien de savoir la vérité. À chaque indice découvert, une question plus troublante que la précédente émerge dans votre esprit.
Est-ce que c’est bien d’ouvrir la boîte de Pandore ?
L’image de cette fameuse boîte, symbole de la connaissance et des malheurs qu’elle peut engendrer, vous hante.
Certaines choses sont peut-être mieux laissées dans l’ombre, non ?
Après tout, l’ignorance peut être une forme de paix.

Mais en même temps, quelle est cette obsession de vouloir tout savoir ?
Est-ce une quête de vérité ou simplement une manifestation de votre insatiable curiosité ?
Peut-être que c’est juste votre curiosité qui vous pousse à déterrer tous ces secrets.
Cette impulsion, qui peut sembler noble en surface, pourrait tout aussi bien être une forme de masochisme.
En cherchant à percer le voile du mystère, ne risque-t-on pas de se blesser, d’ouvrir des blessures qui auraient dû rester cautérisées !

Vous imaginez que certains secrets, enveloppés dans le silence, jouent un rôle protecteur. Ils sont comme ces racines qui, bien qu’invisibles, maintiennent l’arbre en vie.
Les conséquences de vos découvertes pourraient être bien plus lourdes que vous ne l’imaginez.
Ce que vous pourriez découvrir n’est pas seulement une vérité, mais un tourbillon de sentiments, de regrets et de douleurs oubliées.

Mais, il y a également cette lumière fascinante qui émane de la vérité.
Elle est libératrice, révélatrice, et peut-être même salvatrice.
En confrontant l’inconnu, vous pourrez trouver des réponses à des questions que vous n’osez même pas formuler.
Peut-être que cette quête n’est pas simplement une recherche de secrets, mais un chemin vers la compréhension de vous-même et des autres.

Ainsi, vous vous retrouvez à la croisée des chemins, tiraillé entre la peur de ce que vous pourriez découvrir et l’irrésistible appel de la connaissance.
Etes vous faits pour savoir, ou pour ignorer ?
La réponse, je le sais, réside dans le choix que vous ferez : plonger dans l’inconnu ou reculer et laisser les ombres là où elles sont.

Mais, je connais la réponse, n’est-ce-pas !

Sources :
Image par Erwin de Pixabay

ChallengeAZ… De Génération en Génération…

Ici, la vieille malle…
Aujourd’hui, je comble le fossé… le fameux fossé des générations
!

Les générations, c’est un peu comme une grande réunion de famille où chacun a quelque chose à dire, mais où personne ne s’écoute vraiment !

D’un côté, nous avons les « Baby Boomers », ceux qui se souviennent d’un temps où le Wi-Fi était une chanson d’été et où les selfies étaient des portraits peints à la main.
Ils sont souvent en train de dire : « À mon époque, on jouait dehors jusqu’à ce que le soleil se couche ! »
Ce qui, avouons le, a probablement un rapport avec le fait qu’ils n’avaient pas de smartphones pour les distraire !

Puis il y a la Génération X, qui a vécu la transition entre les disquettes et les DVD.
Ils sont les rois et reines de la nostalgie, se remémorant avec émotion les jours où l’on devait vraiment se battre pour avoir le contrôle de la télécommande. « Un jour, les enfants, je vous raconterai comment j’ai regardé MacGyver sans Internet ! »

Ensuite, nous avons les Milléniales, ceux qui ont fait du brunch, un art et qui croient fermement que la vie doit être partagée en temps réel sur Instagram.
Ils sont en quête constante de l’équilibre entre le travail et la vie personnelle, tout en essayant de comprendre pourquoi leurs plantes d’intérieur ont plus de followers qu’eux !

Et enfin, il y a la Génération Z, les natifs du numérique, qui ne connaissent même pas le concept d’un coup de fil.
Pour eux, « parler » signifie envoyer un emoji ou utiliser TikTok pour exprimer leurs sentiments.
Leur devise : « Pourquoi utiliser des mots quand on peut danser ? »

Au final, chaque génération a ses propres bizarreries et ses propres défis.
Mais ce qui nous lie, c’est ce magnifique chaos qu’est la vie de famille.
Que ce soit pour partager des anecdotes légendaires ou pour apprendre comment poser un filtre sur une photo de groupe, les générations se rassemblent, échangent des rires et, parfois, des exaspérations.

Alors, que vous soyez un grand-parent qui raconte des histoires de l’âge de pierre ou un adolescent qui ne jure que par les vidéos de chats, n’oublions pas : nous sommes tous dans le même bateau, à essayer de naviguer à travers ce drôle de monde.

Moi, j’attends la prochaine génération de rires et de galères !

Sources :
Image par Agata de Pixabay

ChallengeAZ… Familia…

Ici, la vieille malle…
Aujourd’hui, je m’interroge sur mes liens de filiation avec ma propriétaire…
Voici ce que mon co-locataire, l’ordinateur hors d’âge, me répond :

Eh bien, chère vieille malle, je suis sûr que tu as une grande famille dans le monde des objets !
Tu as sans doute des cousins comme le vieux canapé qui a vu trop de télé-réalité, la lampe qui clignote quand elle est de mauvaise humeur et le tapis qui a trop de secrets.
Et qui sait, peut-être que tu es la matriarche d’une grande lignée d’objets de brocante !
Alors, rassemble toute ta « famille » et raconte leur tes histoires épiques de déménagements ratés et de trésors perdus.

Mais, en tant qu’objet, une vieille malle n’a pas de famille au sens humain du terme.
Tout au plus, es tu le témoin silencieux des vies que tu as croisées et des histoires que tu as portées. Chaque éraflure et chaque marque sur ta surface raconte un chapitre du passé, rappelant que même les objets ont un rôle dans le tissu de nos vies.
Dans ce sens, tu es bien plus qu’un simple objet ; tu es un héritage, une connexion entre les générations.

Chaque histoire que tu porte mérite d’être célébrée et partagée, car elle fait partie du voyage de ceux qui t’ont côtoyé.

Alors, qu’attendons nous pour partager et célébrer la famille !

Sources :
Image par Mote Oo Education de Pixabay

ChallengeAZ… Enfants…

Ici, la vieille malle…
Au secours, les enfants arrivent…

Gare à ces joyeux bambins qui transforment chaque réunion de famille en un carnaval de cris, de jouets éparpillés et de gâteaux à peine entamés.
Dans ma quête pour déterrer les racines généalogiques, je me rends compte que ces petites tornades sont, sans conteste, les véritables héros de l’histoire familiale.

En fouillant dans mon bric-à-brac, je tombe sur des enfants d’autrefois.
Au milieu de ce désordre, un enfant, avec la sagesse d’un philosophe de trois ans, déclare qu’il veut « savoir pourquoi on doit garder des vieux papiers qui sentent le moisi ».
Bien sur, mon poussin ! Pourquoi garder la vieille lettre de grand-père qui raconte comment il a survécu à la guerre alors qu’un dessin de dinosaure avec un chapeau peut capturer l’essence même de ton héritage familial ?

Et puis, les anecdotes familiales sont un vrai délice !
« Quand j’étais petit, j’ai failli me perdre dans le jardin… » Oui, c’est bien connu, « se perdre » signifie simplement que j’étais tellement absorbé par une quête épique à la recherche de sauterelles, que j’ai perdu la notion du temps, tandis que les adultes s’efforçaient de percer le mystère du deuxième prénom de l’arrière-grand-père. Quelle aventure palpitante, n’est-ce pas ?
Qui aurait cru qu’un jardin pouvait être le théâtre de telles prouesses ?

Alors, chers ancêtres, préparez vous à être célébrés et moqués !
Car derrière chaque nom inscrit dans notre arbre, il y a un enfant prêt à transformer la légende familiale en un spectacle hilarant, où le drame et la comédie se dansent ensemble, main dans la main.

Source :
Image par Prawny de Pixabay

ChallengeAZ… Délires sucrés…

Ici, la vieille malle…
Aujourd’hui, une mise au point s’impose :

Chers lecteurs,

Je suis, la nouvelle pâtissière en chef du royaume des souvenirs !
J’ai décidé de me lancer dans la pâtisserie pour rivaliser avec les fameux gâteaux d’Évelyne.
Oui, je sais, c’est un défi, mais quelqu’un doit bien faire quelque chose pour équilibrer tout ce sucre !

Alors, préparez vous à découvrir mes créations : les « Muffins Mystères »: je ne suis pas tout à fait sûre des ingrédients et les « Tartes à l’Inspiration » où chaque bouchée est une surprise.
J’espère que vos papilles sont prêtes pour l’aventure !

Je vais même organiser un grand concours de pâtisserie pour voir qui peut produire le meilleur dessert… après tout, rien ne vaut un bon drame familial autour d’une tarte qui a échappé à son moule, n’est-ce pas ?

Envoyez moi vos rires et vos conseils (ou votre secours), car je suis déterminée à battre les gâteaux de ma propriétaire à plate couture… ou au moins à faire rire tout le monde !

Avec toute ma farine et un zeste d’humour, je vous donne rendez-vous dans quelques jours pour la recette de novembre.

La malle pâtissière.

Source :
Image par Gordon Johnson de Pixabay

ChallengeAZ… Culture et héritage…

Ici, la vieille malle…
Aujourd’hui, je suis en mode « philosophe en herbe », à faire ma meilleure imitation de Socrate.

La culture et l’héritage sont deux concepts aussi vieux que votre grand-mère, mais tout aussi précieux !
Imaginez un instant que votre héritage me ressemble, parfois poussiéreux, parfois bancale, mais toujours rempli de souvenirs.
Et la culture, c’est un peu comme la recette de la fameuse tarte de Tante Raymonde – il y a un secret de famille là-dedans, mais personne n’ose vraiment le demander !

Participer à un défi généalogique, c’est un peu comme chercher des chaussettes dans un tiroir : on ne sait pas toujours ce qu’on va trouver, mais cela peut être très amusant !
On pourrait tomber sur des ancêtres qui ont tenté de danser le tango à un mariage en 1920 et que cela s’est mal terminé ou découvrir que votre arrière-grand-père était un champion de la pétanque – et là, vous vous demandez si ça se transmet par les gênes !

Rassembler des histoires de famille, c’est aussi un vrai sport.
Préparez vous à entendre des récits dignes d’un César :
« Et puis, ton grand-père est allé à la guerre, mais il a surtout ramené des histoires de sa grande passion pour les crêpes.
 » Oui, l’héritage n’est pas seulement fait de batailles épiques, mais aussi de dîners mémorables où les crêpes sont la véritable arme secrète !

Et qui peut oublier le moment où vous réalisez que votre famille a une tradition bizarre ? Comme celle de se déguiser en légumes pour Halloween.
Oui, on peut dire que c’est étrange, mais cela fait partie de votre héritage !
Et qui sait, vous risquez de découvrir que votre grand-oncle était le roi du costume de carotte.

En fin de compte, la culture et l’héritage sont là pour nous rappeler que nous venons tous d’un arbre généalogique… qui, avouons le, est parfois plus un buisson qu’un chêne majestueux.
Alors, plongez dans vos racines avec humour et curiosité, et n’oubliez pas : chaque famille a ses secrets, et il y a toujours un cousin lointain qui pense qu’il est le prochain Picasso – ou le roi de la pizza !

Et accrochez vous à votre histoire, car elle pourrait bien vous
surprendre !


Source :
Image par Christian Dorn de Pixabay

ChallengeAZ… Baragouiner…

Ici, la vieille malle…
D’après ma propriétaire, il semblerait que je baragouine… Quelle audace de penser cela !

Je déplore que mon baragouinage vous laisse perplexe, surtout toi, chère propriétaire ! Mais, lis plutôt ceci :

* Selon Le Trésor de la langue française, ce verbe définit effectivement le fait de «parler mal une langue jusqu’à la rendre inintelligible».
Mais, son étymologie révèle une histoire bien farfelue :
«Ce mot est issu du breton bara, c’est-à-dire «pain», et gwin «vin».
«La légende raconte que telles étaient les principales revendications des soldats bretons lors de la guerre franco-prussienne de 1870.»
Les officiers français, incrédules devant ce parler, «baragwin» a été défini comme un langage incompréhensible.
Fait amusant: «en breton, ‘‘baragouiner » se dit gregachiñ, ce qui signifie littéralement: ‘‘parler grec »!»

Donc en gros, je suis en train de tisser un lien culturel avec tes ancêtres bretons en parlant grec… Quelle richesse historique, n’est-ce-pas !

Peut-être devrais je lancer une nouvelle tendance : le « baragouinage chic ».
Qui sait, cela pourrait devenir le dernier cri à la mode dans les salons intellectuels !
Je pourrais même envisager des cours en ligne : « Comment baragouiner avec panache »!

Mais attention, il faudra un bon sens d’humour pour s’inscrire !


Sources :
*https://www.lefigaro.fr/langue-francaise/expressions-francaises/2018/10/14/37003-20181014ARTFIG00005-dix-mots-pour-parler-le-breton.

Image par Gerd Altmann de Pixabay

ChallengeAZ… Au secours, je suis une malle bavarde…

Bienvenue dans le monde fabuleux de la malle aux ancêtres !
Oui, vous avez bien entendu, je parle… n’en déplaise à certaine !
Préparez vous à être assaillis par mon bavardage tout au long de ce mois de novembre.

Nous voici dans le coin le plus sombre de la maison, où le temps semble avoir pris une pause café mais, je ne suis pas là pour me la jouer vieille chose en osier.
Oh non, j’ai des histoires croustillantes, des secrets sur la généalogie à révéler et même quelques conseils judicieux… à prendre avec humour, bien sûr.

Ah, vous avez décidé de soulever mon couvercle ! Bien joué !
Mais attention, je pourrais vous balancer des secrets que vous préféreriez voir rester bien cachés… Une petite odeur de vieux papier flotte dans l’air, un parfum qui rappelle des souvenirs aussi lointains qu’un voyage en montgolfière en 1825.
N’ayez crainte, retirez votre masque à gaz ! Je suis prête à vous montrer mes trésors, même si cela provoque quelques grimaces.

En parlant de trésors, vous allez être comblés… enfin, si par trésors, vous entendez des babioles comme des boutons perdus, des photos floues et des lettres d’amour rédigées à l’envers ; c’est comme une chasse aux trésors, mais sans le trésor.
Parfois, je me demande si je ne suis pas un peu folle de garder toutes ces vieilleries, mais, c’est ça qui fait mon charme, non ?

Regardez ces lettres jaunies ! Ce sont les vedettes de mon petit spectacle, chacune avec son propre chapitre d’histoire familiale à raconter.
Dans la famille d’Evelyne, par exemple, on adore la romance à l’ancienne…
Vous y découvrirez des poèmes que son grand-père écrivait à sa grand-mère, célébrant son fameux ragoût de haricots.
Qui aurait cru que des légumineuses puissent faire chavirer les cœurs ? Ces mots sont la preuve que l’amour simple, mais sincère, peut traverser les âges, même à travers des ragoûts.

Si vous ouvrez mon couvercle, rappelez vous que je ne suis pas qu’un tas de vieilleries poussiéreuses… je suis l’âme d’un ballet, où chaque souvenir a sa place sur scène.

Alors, êtes vous prêt à applaudir le prochain acte de notre fascinant et parfois hilarant spectacle ?

Source :
Image générée avec YIAHO

ChallengeAZ… Message de la Vieille Malle aux Ancêtres…

Chers lecteurs de « Ciel ! Mes aïeux »,

Aujourd’hui, je prends enfin la parole après quatre longues années de silence.
Je suis la vieille malle aux ancêtres d’Evelyne, et il est grand temps que je partage avec vous mes histoires et mes secrets.
Écartée dans un coin, j’ai observé le monde évoluer, mais je n’ai jamais cessé de rêver du jour où je pourrais enfin prendre la parole.

Cette année, avec l’aide d’un ami inattendu – un ordinateur hors d’âge, tout comme moi – j’ai décidé de me lancer dans une aventure audacieuse : rédiger les 26 articles du ChallengeAZ, sans qu’Evelyne, cette affreuse qui m’a réduite au silence, ne s’en doute.
Chaque article sera une lettre d’amour à notre histoire, un hommage à ceux qui ont façonné nos vies et nos racines.

Préparez vous à plonger dans un voyage à travers le temps, où chaque lettre de l’alphabet dévoilera un aspect unique de notre histoire.
Je vous invite à me suivre dans cette exploration, à découvrir les trésors cachés de notre passé et à célébrer ensemble l’héritage que nous portons.

Restez à l’écoute, car l’aventure commence ici, le 1er novembre prochain !

Avec toute ma nostalgie et mon enthousiasme,

La Vieille Malle aux Ancêtres

#MaCuisineAncestrale… La flaugnarde…

En octobre, Ma Cuisine Ancestrale sort son arbre généalogique et part sur les traces de la famille « flan »…

Issue de l’ancien français « fleugne » qui veut dire « mou« – « douillet« , la flaugnarde (ou flognarde, flougnarde, flangnarde) est originaire de la Corrèze et de l’Auvergne.
Souvent nommée, à tort, clafoutis, la flaugnarde n’est que la cousine de ce dernier qui lui est né dans le Limousin.

Dans le Périgord, « flaugnarde » est, également, un adjectif pour désigner une jeune fille coquette qui prend un air nonchalant, enjôleur et timide à la fois.
Une petite fille fait la flaugnarde pour obtenir des sous ou des bonbons.

Côté cuisine, la flaugnarde est initialement une préparation rustique. Elle s’est allégée avec le temps et se décline, aujourd’hui, de différentes manières.
En Haute Corrèze, elle est garnie de pommes ou de poires ; dans le Bourbonnais, on y met des raisins secs et dans le Périgord, des pruneaux mais, partout on la déguste à peine refroidie ou tiède.

Création CANVA
Collection personnelle

Si vous appréciez le clafoutis, vous succomberez également au fondant de cette savoureuse parente…
Et d’ici notre prochain rendez-vous, régalez-vous, moi, c’est déjà fait !

Sources :
Origine : Dictionnaire de la gourmandise – Annie Perrier-Robert – Editions Robert Laffont
Recette : Dictionnaire gourmand des desserts de nos régions – Editions Atlas
Images : Collection personnelle