#ChallengeAZ – D comme Dégénérations…

Avec la lettre D, je vous emmène en voyage vers la Belle Province…
Un grand bonjour à nos amis !…  Et en hommage aux ancêtres partis là-bas…
Voici un intermède musical !

Le CD du groupe Mes Aïeux m’a été offert par mes amis Tremblay de Québec. J’ai été touchée par le geste et par le contenu du disque.
Aussi, je m’empresse de partager une de leurs chansons….!

Evidement, les paroles sont une fiction… Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées est une pure coïncidence ! 😉

Ecoutez…
Et si le cœur vous dit : Secouez-vous le patrimoine ! (Dansez ! )…

 
 
DEGENERATIONS
 
Ton arrière-arrière grand-père, il a défriché la terre
Ton arrière grand-père, il a labouré la terre 
Et pis ton grand-père a rentabilisé la terre
Pis ton père, il l’a vendue pour devenir fonctionnaire

Et pis toi, mon p’tit gars, tu l’sais pas c’que tu veux faire
Dans ton p’tit trois et demi bien trop cher, frette en hiver
Il te vient des envies de devenir propriétaire
Et tu rêves la nuit d’avoir ton lopin de terre

Ton arrière-arrière grand-mère, elle a eu quatorze enfants
Ton arrière grand-mère en a eu quasiment autant
Et pis ta grand-mère en a eu trois, c’tait suffisant
Pis ta mère en voulait pas ; toi t’étais un accident

Et pis toi, ma p’tite fille, tu changes de partenaire tout l’temps
Quand tu fais des conneries, tu t’en sauves en avortant
Mais y’a des matins, tu te réveilles en pleurant
Quand tu rêves la nuit d’une grande tablée entourée d’enfants

Ton arrière-arrière grand-père a vécu la grosse misère
Ton arrière grand-père, il ramassait les cennes noires
Et pis, ton grand-père – Miracle! est devenu millionnaire
Ton père en a hérité, il l’a tout mis dans ses REERs

Et pis toi, p’tite jeunesse, tu dois ton cul au ministère
Pas moyen d’avoir un prêt dans une institution bancaire
Pour calmer tes envies de hold-uper la caissière
Tu lis des livres qui parlent de simplicité volontaire

Tes arrière-arrière grands-parents, ils savaient comment fêter
Tes arrière grands-parents, ça swinguait fort dans les veillées
Pis tes grands-parents ont connu l’époque yé-yé
Tes parents, c’tait les discos ; c’est là qu’ils se sont rencontrés

Et pis toi, mon ami, qu’est-ce que tu fais de ta soirée ?
Eteins donc la tivi ; faut pas rester encabané
Heureusement que dans ‘ vie certaines choses refusent de changer
Enfile tes plus beaux habits car nous allons ce soir danser…

 

 
 
 
 
Issue de l’album « En famille » du groupe : Mes Aïeux

Paroles et musique : S. Archambault/Mes Aïeux

 
 

 
 
 

#ChallengeAZ… C comme Cuisiner…

Dans ma famille, Cuisiner était…  une affaire sérieuse  !

Après la Seconde Guerre Mondiale, mon père a été « maître d’hôtel » dans de grands restaurants.
Ma mère était cuisinière chez des particuliers nantis.
Mon oncle était cuisinier de métier…

Donc, à la maison, on ne plaisantait pas avec la préparation des repas… Chacun avait son poste et pas question de tergiverser…
Dans la cuisine, la discipline régnait et l’ambiance contrastait avec la légèreté qui flottait dans la salle à manger.

Les repas du dimanche étaient une tradition… Et je garde le souvenir de grandes tablées où tous les convives parlaient en même temps, riaient et chantaient au dessert…

Aussi, lorsque j’ai découvert, parmi mes ancêtres, un cuisinier au XVIIIe siècle… Je me suis demandée si la génétique n’avait pas distillé dans nos veines un gène culinaire 😉

Jean-François Féry œuvrait dans les cuisines du château de Monsieur le Baron d’Eppes, dans l’Aisne.
D’après mes recherches, il s’agirait de Hyacinthe David Rosalie de Proisy, Seigneur de Proisy et d’Eppes, Capitaine de l’Armée de Picardie.

Sous l’Ancien Régime, le cuisinier faisait partie des « gens de maison ».

Dans la cuisine, les rôles étaient hiérarchisés :
Venait d’abord le « queux » (du latin coquus signifiant cuisinier)… il était le chef, puis les cuisiniers qui l’assistaient.
En l’absence de queux, le cuisinier commandait mais avec le prestige en moins.
Puis venaient les marmitons, les commis (apprentis cuisiniers) et les garçons et filles de cuisine (petites mains sans qualification)

La discipline était militaire, d’ailleurs on retrouve beaucoup de termes liés à l’armée : brigades de cuisine, officiers de bouche, offices, écuyers de cuisine…

Le maître de maison était attentif au choix de son cuisinier car sa réputation en dépendait ! Le nom du cuisinier était souvent associé à celui de son maître !

*Voici d’ailleurs ce que disait, Grimaud de la Reynière, un des plus fin gourmet du XVIIIe siècle :

Pour avoir un bon cuisinier, il faut qu’il ait le goût bon ; or, vous ne devez point le laisser s’émousser au contact de certains breuvages ; « le goût finit par s’excorier et par devenir aussi insensible que la conscience d’un vieux juge ».
Il indique alors tout un traitement à suivre : on purge le cuisinier, on le dorlote, on le soigne, « pour faire une chère toujours égale » et ne pas s’exposer aux variations et aux caprices d’un goût dépravé et dévoyé.

J’ignore si Jean-François a subi pareil sort.
Il est décédé le 21 décembre 1778 au château (peut-être derrière ses fourneaux) à l’âge de 58 ans comme l’atteste son acte de décès :

 
 
 
 
 
 
 
Sources : Acte de décès de J.F Fery – AD Aisne – 5MI0103 Page 38

             *La France pittoresque – Vieux métiers, métier ancien : les cuisiniers
                Image : Le cuisinier et sa femme – A. Dürer – Gallica – BNF

#ChallengeAZ… B comme Baptême…


Chut… Ne faisons pas de bruit…

En ce 2 février 1744, à Erlon, petit village de l’Aisne, un enfant est né dans la maison d’Antoine Marly et de Marie Jeanne Carlier, son épouse (mes Sosa 128 et 129).

C’est un garçon ! 



C’est le premier enfant de Marie Jeanne, mais Antoine en a déjà une bonne dizaine issus de deux mariages précédents.

Dans le grand lit, la jeune mère se repose. Elle restera alitée plusieurs jours avant les relevailles.

L’enfant emmailloté dort paisiblement dans le berceau de bois déposé près du grand lit.
Il est l’objet de toutes les attentions lorsque l’on sait que 25% des nourrissons meurent pendant la première année de leur existence et 60% entre un an et quatre ans du fait du sevrage.

Sous l’Ancien Régime, lorsque l’enfant parait, le premier acte qu’il reçoit est le Baptême.

Au delà de la religion, le baptême revêt un caractère officiel et inscrit l’enfant dans la société… puisque c’est le seul document qui prouve son existence.

Le baptême a lieu le jour même de la naissance ou au plus tard dans les trois jours comme l’exige l’Église depuis le Concile de Trente, sous peine d’excommunion.

D’ailleurs, Antoine a déjà prévenu le Curé de la Paroisse et son fils sera baptisé aujourd’hui même.

En 1744, la religion conditionne la vie des gens.
Pour l’Église, l’enfant est d’abord un chrétien en puissance qui doit être lavé du pêché originel et sauvé de la mort spirituelle.
D’ailleurs, la grande crainte des parents n’est pas de voir disparaître leur nouveau-né ; la mort fait partie de leur quotidien.
Ce qui les effraie plus que la mort, c’est que leur enfant trépasse sans être baptisé : il est, alors, condamné à errer dans les limbes et il est inhumé en dehors du cimetière paroissial, en terre non chrétienne.
C’est aussi pour cela, que la sage-femme peut ondoyer le nouveau-né en cas d’accouchement difficile ou de danger de mort à la naissance.

Baptisé, un enfant qui meurt devient un « ange au paradis ». Il veillera sur ses parents et intercèdera en leur faveur.

Pour l’heure, les préparatifs du baptême sont rapides… Antoine & Marie Jeanne ont choisi Charles Alexis  et Marie Barbe Marly, un demi-frère et une demie-sœur du bébé pour Parrain et Marraine.

Malgré le froid, le petit groupe se dirige vers l’Église accompagné par quelques voisins… Le Curé les accueille… et baptise le nouveau venu dans la communauté chrétienne : François !

Tous signent l’acte et c’est, probablement, Antoine qui le rédige sur le registre puisqu’il est greffier de la paroisse !


 







Sources : Acte de baptême de François Marly : AD Aisne – 5MiO493
                RFG – H.S La naissance du 16è au 19è siècle
                Image : mes coloriages.com

#ChallengeAZ… A comme de l’Ariège à l’Algérie…

Quitter sa terre natale pour s’installer sur d’autres rivages… Commencer une vie nouvelle et espérer qu’elle soit meilleure…
Telle fut l’épopée, pleine de promesses, proposée à des dizaines de milliers de français au XIXe siècle pour peupler l’Algérie, après sa conquête en 1830.
Parmi eux, se trouvaient mes ancêtres ariègeois.

Difficile d’imaginer un changement de vie plus radical :

 

Marseille… Le port…  La Méditerranée… Du jamais vu !

 

Embarquer et naviguer vers l’Afrique de Nord… L’inconnu !

 

Scruter l’horizon, le cœur battant,  pour apercevoir la côte… Et soudain, découvrir l’Algérie !

        

Débarquer à Alger… Le soleil brûle la peau… La chaleur ralentit les gestes… La lumière éblouit…  Mais tous les sens sont en éveil…

Des parfums inconnus divulguent leurs effluves envoûtants : le jasmin, la fleur d’oranger, les bougainvillées et les jacarandas…

 

S’enivrer, observer…  mais, ne pas s’attarder… Saisir son maigre bagage et continuer la route…

 

Direction le sud-ouest… Encore 50 km à parcourir… La notion du temps s’évapore !

 

Quelques heures sous le soleil écrasant… Avant d’arriver à destination… Et enfin, découvrir Blida…  !

Est-ce ainsi que Dominique Tourré & Suzanne Périé, mes arrières-arrières grands-parents, cultivateurs, quittant Rieux de Pelleport en Ariège ont découvert l’Algérie ?

Dominique et Suzanne se sont mariés à Rieux de Pelleport le 13 février 1825. Leurs enfants sont nés dans cette commune.
J’ignore la date de leur arrivée à Blida et combien de temps, ils y ont vécu…
Suzanne est décédée le 13 décembre 1857 à 56 ans  et Dominique le 15 février 1858 à 60 ans à l’hôpital militaire.

Leurs enfants sont restés à Blida, s’y sont mariés et y ont vécu assurant ainsi une descendance dans cette ville.

Leur fille, Marie Suzanne y a épousé mon arrière grand-père maternel, Victor Emile Berthault… avant de refaire le trajet à l’envers pour aller vivre en Normandie, la région natale de Victor Emile !
(voir articles : Une épine généalogique)

Voici pour mon histoire familiale… encore incomplète !
Pour la grande Histoire,

*Les troupes françaises occupent Blida en 1839, neuf ans après la conquête de l’Algérie en 1830 et après de nombreuses tentatives d’occupation. Ils bâtissent de nombreuses casernes militaires, ce qui explique que Blida est devenue une ville garnison de l’armée française pendant toute la durée de la colonisation…
Détruite par le séisme de 1825, Blida a été reconstruite par les français selon un plan d’urbanisation moderne (rues à angle droit et maisons basses).
Aux portes de la ville, trois villages de colonisation sont créés : Joinville et Montpensier en 1843 et Dalmatie en 1848.
En 1848, elle est érigée en municipalité.

Sources : *Wikipédia.org/Blida
Image : Blida – l’Eglise catholique – Gallica – BNF

Que commence le #Challenge AZ 2014…

 

On vous l’avait annoncé depuis plusieurs semaines…
Vous l’attendiez avec impatience !..
Moi aussi !..

Samedi débute la Seconde Edition du Challenge AZ, concoctée par notre fée :
                                +Sophie Boudarel  de la Gazette des Ancêtres…

Le principe est d’écrire 26 articles en prenant les 26 lettres de l’Alphabet pendant le mois de juin.

Que réserve le Cru 2014 :

– Primo, la participation enthousiaste des blogs qui avaient pris part à la première édition…
– Secundo, la naissance de nouveaux blogs pour l’occasion. Ce qui prouve le succès du challenge ! Bienvenue à eux !
= Au total, beaucoup d’articles à découvrir… et quelques heures de lecture en perspective !

Cette année, la nouveauté proposée par Sophie est la possibilité de choisir (ou pas) un thème !

Bien que je trouve l’idée intéressante, j’ai pris le parti d’écrire sans fil rouge… !

Depuis quelques jours, j’ai rouvert la grand ‘malle des Ancêtres afin d’y puiser mes articles… Et me suis mise au travail !

Et en avant-première, je souhaite à tous les participants, une belle aventure généalogique et à tous les lecteurs, de nombreuses découvertes… A consommer sans modération !

Amusons-nous…!  Surprenons-nous…!

Le challenge est fait pour cela…!

Rendez-vous, le 31 mai avec la lettre A… comme…

                                               
 A Samedi !

 
 
 

La Revue Française de Généalogie…

Avez-vous déjà éprouvé ce délicieux moment où un petit frisson vous envahit comme si  « un inconnu vous offrait des fleurs » ?

Et bien, c’est ce que j’ai ressenti, aujourd’hui…

La raison de ce bonheur est la lecture de la
Revue Française de Généalogie n° 211 (avril-mai 2014)
accompagnée d’un hors série n° 38 :
Généalogie et histoire familiale sur Internet !

Avec ce numéro spécial,  la RFG s’intéresse au monde des généablogueurs.

Dans la revue, vous trouverez des astuces et des conseils, les blogs qui ont participé au Challenge AZ 2013 organisé par Sophie Boudarel de la Gazette des Ancêtres, ainsi que :

  •  Une sélection des blogs à suivre
  • Comment être informé des meilleurs articles
  • 14 conseils pour créer et écrire sur votre blog
  • + 32 exemples originaux

Et parmi la sélection des 32 articles, choisis entre un peu plus d’un millier, se trouve un de mes billets : B comme Badestamier,  issu du Challenge AZ 2013.

Lorsque j’ai créé mon blog, je n’aurais jamais imaginé être éditée dans une revue nationale au milieu de blogs reconnus. Je n’y pensais même pas… C’est donc, une grande et belle surprise !

C’est avec beaucoup d’émotion que j’adresse mes remerciements à la Revue Française de Généalogie qui fêtera son 35e anniversaire dans quelques jours, ainsi qu’à Sophie Boudarel sans oublier, Hélène Soula, qui m’ont donné l’envie d’écrire !

 

Challenge AZ 2013

Après un mois d’avril riche en écriture et en lecture diverses et variées, j’ai abandonné mon ordinateur quelques jours le temps d’une escapade…(En mai, fais ce qu’il te plait…)

Je suis encore éblouie par tous les échanges que ce challenge a suscité : les adjectifs sont nombreux pour décrire ce que nous avons partagé pendant un mois.

Si certains blogueurs avaient l’habitude de l’écriture, pour ma part je débutais… Et sans fausse modestie, je pense m’en être plutôt bien sortie pour une première fois.

Le calendrier que Sophie avait mis à notre disposition m’a beaucoup aidée. Le choix des articles n’a pas été une difficulté majeure, même si pour certain, la réflexion a été plus longue. J’ai travaillé en amont afin d’éviter les débordements : j’ai écrit jusqu’à trois articles par jour.

Les visites sur mon blog ont fait un pas de géant : pas moins de 1725 visites, en Avril, venant de différents pays : France et Ile de la Réunion, Russie, Etats-Unis, Canada, Allemagne, Belgique, Italie et même la Chine.

Et à ce jour, je comptabilise entre 4 et 10 visites par jour… Je suis agréablement surprise de constater que mes articles suscitent autant d’intérêt.

Je l’ai déjà écrit, mais je renouvelle mes remerciements à Sophie et à vous tous, qui avez partagé ce challenge.

Je vais prendre maintenant le temps de lire ou relire vos articles et commencer à réfléchir à l’édition 2014 !

A bientôt….

30 – GénéA à Z – Lettre Z



Z comme Zéphirine :

Zéphirine, un prénom doux comme un vent léger ; mais la vie de Zéphirine n’a pas été synonyme de douceur :

Mon aïeule, Zéphirine FOUQUES (Sosa 15), est née le 12 septembre 1869 à May sur Orne, à quelques lieues de Caen.

Ses parents sont Ferdinand Alphonse Henri & Maria Josephina Alberta Apollonia Valentina JEANNE.

Elle est journalière et ne sait pas écrire.

Le 3 janvier 1887, elle met au monde une fille : Louise Marie Elisabeth ; elle a à peine 18 ans.

Elle épouse François Marie MORIN, le 16 février 1889. Ils reconnaissent Louise comme étant née de leurs « œuvres » et l’enfant est légitimée par le mariage.

Ils ont un second enfant : Georges Eugène, né le 16 juin 1891, mais il décède le 11 juillet 1891.

Le 28 février 1895, François Marie qui est carrier, décède à 38 ans.
Zéphirine est veuve à 26 ans.

Un an et demi plus tard, le 28 novembre 1896, elle épouse en secondes noces, Charles Adolphe POISSON, carrier également.

Ils ont une fille, Augustine Marie, née le 12 janvier 1898.

Zéphirine décède le 12 novembre 1898 à May. Elle a 28 ans et laisse deux orphelines.



A.D CAEN – Acte de Décès de Zéphirine Fouques

             
              Incroyable, j’ai réussi : 26 lettres, 26 articles !
             Ce mois d’avril m’aura fait vivre, dormir, rêver  : G E N E A L O G I E
             Mais quelle aventure !
             Je suis prête à retomber dans la grand’malle des aïeux, l’année prochaine !
            
             Un grand merci à Sophie et à tous les blogueurs !
            
             Demain 1er mai, jour du muguet, alors voilà pour vous …! A bientôt…

 

29 – GénéA à Z – Lettre Y


Y comme Yssingeaux :

Blason d’Yssingeaux

 

Yssingeaux est une commune de la Haute-Loire.
La ville fait partie du Velay.
 Elle est aussi appelée la « Région des Sucs » (un suc est un ancien volcan en forme de dôme)
Un des sucs s’appelle le suc d’Achon.
On fait aisément le rapprochement entre le nom de la ville et ses armoiries représentant cinq coqs annonçant le lever du jour avec la devise : « Evocant auroram » .
D’aucuns précisent que l’origine viendrait du patois : « lou cin djaï » (les cinq coqs).
(source : site de la ville d’Yssingeaux)

*L’origine du nom « Achon » prendrait sa source dans cette commune, bien qu’à ce jour je n’ai rien trouvé qui le confirme.

C’est un toponyme : Achon (Apcho au XIVe siècle) est un hameau à Yssingeaux.

L’orthographe la plus ancienne du patronyme Achon est Apchon ; il existe un village du même nom dans le Cantal.

Alors d’où viennent les Achon ? Haute-Loire ou Cantal ? Là est la question, à laquelle il me faudra tenter de répondre… A suivre !

*Dictionnaire des noms de famille, Jean Tosti
  Site : www.jeantosti.com