Dans mon cabinet de curiosités… Il y a des liens extraordinaires, comme ceux qui lient Mondeville dans le Calvados à Westminster en Grande Bretagne…
Il y a longtemps, très très longtemps… Le sous-sol normand offrait aux bâtisseurs, une pierre de calcaire. On l’appelle « Pierre de Caen » et on la trouve sur les rives de l’Orne et tout autour de Caen.
Les carrières à ciel ouvert fleurissent de toute part comme à Mondeville, à Cintheaux, à Bretteville-sur-Laire, villages ancestraux…
Cette pierre a été utilisée pour construire les grands monuments comme l’abbaye du Mont Saint-Michel ou celle de Jumièges.
Lorsque Guillaume le Conquérant envahit l’Angleterre et en devient roi en 1066, il veut affirmer sa puissance dans ce pays. Il ordonne, donc, à ses architectes, ses carriers et ses maçons de se mettent à l’œuvre ; mais la pierre du pays ne leur donnant pas satisfaction, ils décident de faire venir la pierre de Caen en Angleterre.
Il s’ensuit un important trafic entre les ports normands et ceux du sud de l’Angleterre pour acheminer ladite pierre, les bateaux remontant la Tamise jusqu’à Londres.
Guillaume veut démontrer son pouvoir face aux Saxons, qu’à cela ne tienne, la Tour de Londres sera le premier symbole construit en pierre de Caen. Puis, on voit surgir partout des abbatiales, des cathédrales comme celle de Canterbury ou des châteaux comme celui de Westminster…
C’est ainsi que la pierre de Caen envahit l’Angleterre dès le XIe siècle et cela durera jusqu’au XVIIIe siècle.
Evidemment, ma généalogie ne remonte pas au XIe siècle, mais mes ancêtres, nés au XVIIIe ou au XIXe siècle, ont travaillé dans les carrières de pierre de Caen.
Savaient-ils, que leurs pères, avaient taillé la fameuse pierre et y avaient laissé un peu de leur ADN pour alimenté les grandes constructions en Angleterre et dans le monde ?
Sources :
Patrimoine-Normand
Image : Abbaye de Westminster – Pixabay.com
Catégorie : Normandie
#ChallengeAZ… Instituteur…
Dans mon cabinet de curiosités se dissimule un instituteur public :
Jean-François Pierre GAUGAIN est né le 29 janvier 1815 à Clinchamps-sur-Orne dans le Calvados.
Il est issu d’une famille modeste. Ses parents, Jean-Jacques et Marie- Françoise BISSON, sont journaliers.
Le 8 mai 1837, à Fontaine-Etoupefour (14) il épouse à 22 ans, Aglaé Augustine Françoise CAREL, une dentellière de 18 ans. L’acte de mariage indique qu’il est instituteur.
Le couple est établi à May-sur-Orne (14) entre 1839 et 1856.
Jean-François y exerce son métier. Il est souvent nommé comme témoin lors de l’établissement des actes de décès de la commune.
Deux enfants naissent de leur union : Mathilde Domitille ° le 18/03/1839 et François Alexandre Adrien °09/10/1844.
Mathilde décède le 18/03/1854 à 15 ans. Aglaé, sa mère, décède le 15/03/1855 à 36 ans.
Jean-François se remarie, le 13/09/1856, à Feuguerolles-sur-Orne (aujourd’hui Feuguerolles-Bully) avec Elisabeth Emérentine LEPART. Il a 41 ans et elle 29 ans. Un contrat de mariage est établi en l’étude de Maître BAUJOUR à Caen, le 04/09/1856.
En 1872, le couple est recensé à Louvigny (14).
Jean-François est définitivement pensionné le 06/09/1880 d’après le Registre Pension civile Bulletin n° 1233 trouvé sur Filaé. Il réside alors à Feuguerolles sur-Orne.
Il a exercé son métier durant 26 ans-8 mois-5 jours et l’état lui a octroyé une pension de 600 F.
Il est décédé le 15 janvier 1884 à l’âge de 68 ans à Feuguerolles-sur-Orne (14).
Jean-François Pierre GAUGAIN est un collatéral de Georges Etienne LAQUAINE, Sosa 126 et de Marie-Anne ORESME, Sosa 127 .
Constance Elisa, une de leurs filles a épousé un certain Jean-François Marie BISSON.
Marie-Françoise BISSON, la mère de Jean-François Pierre GAUGAIN est la sœur de Jean-François BISSON, le père de Jean-François Marie BISSON, gendre de mes Sosa 126 et 127.
Je vous l’accorde, je suis allée chercher très loin cette parenté, mais elle tombe à pic pour la lettre du jour.
Cet Instituteur public fait figure de VIP dans ma généalogie 😀
Sources :
A.D Calvados
Filae.com
Photos : Collection personnelle
#Challenge AZ… Gentilé…
Mon cabinet de curiosités renferme les gentilés de nos ancêtres… car ma curiosité m’incite toujours à chercher le gentilé d’un lieu.
Pour mémoire : un gentilé désigne les habitants d’un pays, d’une province, d’une région ou d’un lieu par référence à l’endroit où ils habitent ou d’où ils sont originaires.
Il est attesté en France depuis 1752 d’après l’Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des Sciences, des Arts et des Métiers de Diderot.
Le gentilé d’un seul homme peut être de trois manières et de trois sortes de dénominations
Par exemple : mes ancêtres sont picards, normands, bretons ou occitans. Ils sont aussi axonais, calvadosiens, ornais, finistériens ou ariégeois… Et, cerise sur le gâteau (la gourmandise arrive toujours là où on ne l’attend pas), selon la commune où ils résidaient, ils sont dans l’Aisne :
– athissiens = Athies-sous-Laon
– brayois = Braye-en-Laonnois
– burellois= Burelles
– chermizyacois = Chermizy-Ailles
– gizysiens ou gizyacois = Gizy
– grandlupois = Grandlup-et-Fay
– moussyacois = Moussy-Verneuil
– vendressois = Vendresse-Beaulne
Dans le Calvados :
– brettevillais = Bretteville-sur-Laize
– cintheauxiens = Cintheaux
– clécyens = Clécy
– pommerais = La Pomme
– laiziens = Laize-la-Ville
– mayens = May-sur-Orne
– saint-rémois = Saint-Rémy-sur-Orne
– vasdastins = Saint-Waast-sur-Seulles
Dans l’Orne :
– flériens = Flers
– carneillais = La Carneille
– landigulfiens = Landigou
– auvraisiens = La Forêt-d’Auvray
– georgiens = Saint-Georges-des-Groseillers
– pétruviens = Saint-Pierre-du-Regard
– Saint-Hono-Guillaumins = Sainte-Honorine-La-Guillaume
Dans le Finistère :
– plouganistes = Plougasnou
– ignaciens = Plouigneau
– plouégatais = Plouégat-Moysan
– garlannais = Garlan
En Ariège :
– ruxéens = Rieux-de-Pelleport
– loubénois = Loubens
Si certains gentilés sont évidents, d’autres sont vraiment improbables…
Et, bizarrement, toutes les communes n’ont pas de gentilé comme Gercy, Samoussy, Eppes dans l’Aisne.
Et vous, connaissez-vous les gentilés de votre généalogie ?
Sources :
Wikipédia.fr
Le nom des habitants des communes de France – https://www.habitants.fr/index.php
Image : L’Eveil de la Haute-Loire
#ChallengeAZ… Fruits défendus…
Au XVIIe et XVIIIe siècle, les relations sexuelles de nos ancêtres étaient normalement prohibées avant le mariage, mais quand on sait que la moyenne de l’âge au mariage était de 25-26 ans pour les femmes et 27-28 ans pour les hommes… Hum… Qu’il devait être difficile de rester chaste pour des jeunes gens.
Il n’était pas rare que la (future) mariée soit déjà enceinte, parfois de plusieurs mois, lors des noces.
D’ailleurs, les différents sondages, effectués pendant ces périodes, donnent un peu plus de 10 % de femmes enceintes au moment de la cérémonie, plus de 30 % dans certaines paroisses.
Et si on célébrait Noël avant Pâques dans un moment d’exaltation, tout rentrait dans l’ordre à condition que l’enfant naisse après l’union des futurs parents.
Nos ancêtres ne dérogent pas à cette étude… sur les 813 unions trouvées à ce jour dans mon ascendance, 16 enfants ont été conçus avant le mariage.
En Auvergne, on était beaucoup plus sage puisque sur les 313 unions de l’ascendance de Mr, seuls 3 enfants ont été conçus hors mariage.
La corbeille des fruits défendus appartient à ma branche maternelle FOUQUES :
– Jacques Aimé Marie FOUQUES x Clémence EUPHEMIE – Sosa 120-121 ont eu 3 enfants hors mariage, dont
– Alphonse Aimé Adolphe FOUQUES x Zéphirine Antoinette BRIERE – Sosa 60-61 ont eu 2 enfants conçus hors mariage, dont
– Ferdinand Alphonse Aimé FOUQUES x Maria Joséphina Alberta Appolonia Valentina JEANNE – Sosa 30-31 ont eu 1 fille conçu hors mariage :
– Zéphirine Pauline FOUQUES x François Marie MORIN -Sosa 14-15 ont eu 1 enfant conçu hors mariage :
– Louise Elisabeth MORIN, ma grand-mère maternelle qui, elle, a sauvé l’honneur familial…
Rrro… Cela me fait sourire quand je pense aux leçons de moral que j’ai reçu, adolescente, sur les conséquences des relations avant le mariage !
Et vous, avez-vous des fruits défendus dans votre arbre ?
Sources :
Le mariage au XVIIe et XVIIIe siècle : www.fdesouche.com
Image : Ceci n’est pas une pomme -René MAGRITTE
#Challenge AZ… Bergers…
Savez-vous qu’être Berger, c’est exercer l’un des plus anciens métiers connus au monde puisque les premiers bergers sont apparus, il y a 10 000 ans en Asie Mineure (c’est Wikipédia.fr qui me l’a dit)
A ce jour, ma généalogie compte 16 bergers (8 Sosa et 8 collatéraux) ayant vécu principalement au XVIIe et XVIIIe siècle en Picardie et en Normandie.
Je suppose que la vie d’un berger à cette époque n’était guère idéale, bien que la littérature et la peinture romantique la représentait comme telle.
Je pense que sa vie était plutôt rudimentaire et sommaire et que l’homme était fruste et analphabète quand on sait que seulement 29% des hommes savaient signer à la fin du 17e siècle (source Geneawiki.fr).
Alors, comment tous mes Sosa « bergers », sauf un, ont-ils appris à signer ? Leur signature démontre un apprentissage maîtrisé ou presque de l’écriture.
La vérité est sans doute ailleurs, la trouverai-je ?
En attendant, comme mes bergers, avez-vous aussi des ancêtres ayant pratiqué un métier modeste et sachant signer ?
Sources :
La Pastorale au 18e siècle : Persée.fr
Image : Pixabay.com – Corinne vd
Des actes insolites pour deux inconnus…
Connaissez-vous les Inventaires sommaires des Archives Départementales antérieures à 1790 – Archives civiles – consultables sur le site Généanet et notamment ceux du Calvados ?
Je les consulte régulièrement en y renseignant le patronyme de mes ancêtres. J’y trouve, parfois, des renseignements les concernant, comme ICI.
Dernièrement, deux actes de décès m’ont interpellée. Je les partage… histoire de sortir de l’anonymat un matelot et un mendiant… le temps d’écrire ce billet… le temps que vous mettrez (peut-être) à le lire.
Ce matelot mort, à Bras, un hameau d’Ifs (14) est né à … proche du Havre de Grâce…
Pour les ignorants (j’avoue que je ne le savais pas non plus…personne n’est parfait😁) … c’est le nom que François 1er a donné au Port du Havre (76) au moment de sa création en 1517.
Notre homme était-il matelot sur un navire de pêche ? On peut le penser, car au XVIIè siècle, la pêche au grand banc « pêche à la morue verte » (salée) devient l’activité principale du Havre.
A raison d’une vingtaine d’hommes par bateau, ces matelots représentaient la moitié des habitants des 16000 habitants de la cité portuaire, à cette époque.
La pêche était éprouvante et périlleuse mais, le danger venait aussi, des pirates et des forbans qui pullulaient sur les mers :
Le deuxième acte est une attestation établie le 3 février 1754 à Mondeville (14) concernant un inconnu mort du Mal de Saint-Main :
L’acte d’inhumation suit ladite attestation.
Le mal de Saint-Main (Normandie) ou Saint-Méen (Bretagne) est une affection de la peau semblable à la gale ou à la lèpre.
J’aime ces actes insolites qui nous permettent de découvrir l’Histoire autrement !
Et vous ?
Sources :
Le Havre de Grâce : Religion et monde maritime au Havre dans la seconde moitié du 177 siècle – Alain CABANTOUS – Persée.fr
Mal de Saint-Main : http://saints-en-calvados.eklablog.com/meen-a125234624
L’Hermione, la frégate de la liberté…
Le 21 mars 1780, le jeune major général de La Fayette embarque à bord de l’Hermione. Il part combattre aux côtés des insurgés américains qui luttent pour leur indépendance… Cela est la grande Histoire !
Le 15 mai 2019, je monte à mon tour sur la réplique de l’Hermione à Ouistreham (14). Et mon esprit rejoint celui des grand aventuriers …
Ce navire me fascine depuis le début de sa construction.
Ceci est la petite histoire !
Pour le plaisir, je partage les images que j’ai ramené de cette journée ensoleillée en Normandie.
Libre et fière…
Tiens bon la vague et tiens bon le vent
Hisse et ho , Hermione !…
Photos : collection personnelle
Les pionnières de ma Généalogie…
Sur une idée de Sophie BOUDAREL de La Gazette des Ancêtres, et pour célébrer la Journée des droits de la femme (8 mars), voici une mise en avant des femmes de ma généalogie.
La première à signer s’appelait Marie LESAGE. Elle est mon Sosa 3845. Elle est née vers 1648 à Noyers-Bocage (14) et elle a épousé Michel PARIS, le 10 mai 1671, à Saint-Vaast-sur-Seulles (14) au temple protestant. Elle avait 23 ans.
Sa signature :
La première à voter n’est autre que mon Sosa 3, ma maman. Mes grands-mères sont décédées avant 1945.
Pour le reste, je n’ai malheureusement pas trouvé de renseignements sur Gallica.
Si les familles nombreuses sont courantes (ex : 13 enfants chez mes Sosa 4 et 5), pas de médaille pour récompenser ce foyer fécond.
Donc, je vous propose de lire ou de relire ces articles concernant les Sosa féminins de mon arbre.
Voici sept destins différents mais O ! combien marquants :
Anna KONJETSKY, Sosa 41, mon ancêtre silésienne
Histoire d’un abandon, l’enfance de mon Sosa 3,
Clémence EUPHEMIE, Sosa 121, abandonnée à la naissance,
Marie Magdeleine MAFFLARD, Sosa 47, guillotinée pour l’exemple,
Anne CHENNEVIERE, Sosa 145, nourrice au XVIIIe siècle,
Anne GUILLOU, Sosa 117, mariée à 14 ans,
Zéphirine Antoinette BRIERE, Sosa 61, née un vendredi 13.
(Cliquez sur les noms pour découvrir l’article)
Bien sûr, il s’agissait d’un temps où on ne parlait pas des droits de la femme.
Bonne lecture !
Source image : Blog La Gazette des Ancêtres :
Salon de Paris, Mme Beaury-Saurel, “Nos éclaireuses” : [carte postale] – https://bibliotheques-specialisees.paris.fr/ark:/73873/pf0000858991/v0001
Anne CHENEVIERE, nourrice au XVIIIe siècle…
Petite question : Appréciez-vous trouver les détails atypiques qui vous renseigneront sur la vie de vos ancêtres et qui pimenteront votre histoire familiale ?
Personnellement, je l’avoue… je jubile lorsque cela m’arrive !
C’est en parcourant les inventaires sommaires des Archives Départementales antérieures à 1790 du Calvados, édités en 1897 et mis en ligne sur le site Généanet (ces archives recensent une multitude de renseignements sur les gens du cru) que j’ai pu reconstituer le récit qui suit.
Je cherchais les actes de baptême, de mariage et de sépulture de la famille de Philippe LE HUGEUR et de Anne CHENEVIERE, mes Sosa 194 et 195 à la huitième génération lorsque j’ai découvert cette anecdote : mon aïeule fut nourrice.
Philippe et Anne se sont mariés le 26 février 1724 à Sainte-Honorine-La-Chardonne, petit village normand aux confins de l’Orne et du Calvados.
Philippe était fermier dans le hameau La Dieurie.
Le couple a eu trois enfants :
– Marie Anne, née le 27/02/1725 – Décédée le 14/11/1749 à l’âge de 24 ans
– Madeleine, Sosa 97, née le 29/01/1729 –
– Louis, le petit dernier, né le 12/07/1734 –
Et comme toutes les mères de basse souche, à l’époque, Anne les a nourris au sein.
A quelques lieues de là, à Condé (sur Noireau- 14), Nicolas-Jacques LE HARDY était chirurgien royal. Sa vie fut bien remplie comme il le décrit lui-même :
Le 21 juin 1735, à huit du matin, son épouse, Marie Anne LE GENDRE, accoucha d’un garçon. Le jour suivant, il était baptisé Nicolas-Robert par Robert HARDY et Marie PRINGEAUX.
Son destin de nouveau-né fut immédiatement scellé à celui de mes ancêtres puisqu’il était confié le jour même à Anne.
Le chirurgien royal lui versa trois livres par mois en plus des autres donations ordinaires.
Je suppose que le lait d’Anne fut abondant pour nourrir Louis, puis Nicolas-Robert et que le doux nectar les protégea.
Les frères de lait ont finalement grandi et sont devenus adulte…
Le 23 mai 1758, Nicolas-Robert épousa Anne Elisabeth Jacqueline Charlotte de LA RIVIERE à Saint-Pierre d’Entremont (61)
Anne est décédée le 24 juin 1744 à l’âge de 45 ans.
Philippe se remaria avec Marie LEFEVRE, le 25 juillet 1747 et mourut à son tour, le 31 août 1760 à l’âge de 59 ans non sans avoir marié Louis, le 19 février 1754 à Marie JOUENNE.
Cette histoire est certes modeste mais elle fait mon bonheur généalogique du jour !
Sources :
-Image : La visite à la nourrice de FRAGONARD-
National Gallery of Art, Washington DC
-Inventaire sommaire des archives départementales antérieures à 1790 du Calvados – Armand BENET – édité en 1897
-Généanet : Mariage de Nicolas-Robert, le 23/5/1758
#ChallengeAZ… Normandie…
Si je devais créer un totem pour représenter mon arbre, j’y mettrai, entre autre, un pommier de Normandie… symbole de mes branches maternelles.
Et parce que je suis profondément attachée à cette région !
Sources :
YouTube Musique : Musique traditionnelle du folklore normand -Nos vieux pommiers – J.Baptiste MERSIOL –
Image gratuite : Clé de sol – Pixabay.com