Ici, la vieille malle… Aujourd’hui, je m’interroge sur mes liens de filiation avec ma propriétaire… Voici ce que mon co-locataire, l’ordinateur hors d’âge, me répond :
Eh bien, chère vieille malle, je suis sûr que tu as une grande famille dans le monde des objets ! Tu as sans doute des cousins comme le vieux canapé qui a vu trop de télé-réalité, la lampe qui clignote quand elle est de mauvaise humeur et le tapis qui a trop de secrets. Et qui sait, peut-être que tu es la matriarche d’une grande lignée d’objets de brocante ! Alors, rassemble toute ta « famille » et raconte leur tes histoires épiques de déménagements ratés et de trésors perdus.
Mais, en tant qu’objet, une vieille malle n’a pas de famille au sens humain du terme. Tout au plus, es tu le témoin silencieux des vies que tu as croisées et des histoires que tu as portées. Chaque éraflure et chaque marque sur ta surface raconte un chapitre du passé, rappelant que même les objets ont un rôle dans le tissu de nos vies. Dans ce sens, tu es bien plus qu’un simple objet ; tu es un héritage, une connexion entre les générations.
Chaque histoire que tu porte mérite d’être célébrée et partagée, car elle fait partie du voyage de ceux qui t’ont côtoyé.
Alors, qu’attendons nous pour partager et célébrer la famille !
Ici, la vieille malle… Au secours, les enfants arrivent…
Gare à ces joyeux bambins qui transforment chaque réunion de famille en un carnaval de cris, de jouets éparpillés et de gâteaux à peine entamés. Dans ma quête pour déterrer les racines généalogiques, je me rends compte que ces petites tornades sont, sans conteste, les véritables héros de l’histoire familiale.
En fouillant dans mon bric-à-brac, je tombe sur des enfants d’autrefois. Au milieu de ce désordre, un enfant, avec la sagesse d’un philosophe de trois ans, déclare qu’il veut « savoir pourquoi on doit garder des vieux papiers qui sentent le moisi ». Bien sur, mon poussin ! Pourquoi garder la vieille lettre de grand-père qui raconte comment il a survécu à la guerre alors qu’un dessin de dinosaure avec un chapeau peut capturer l’essence même de ton héritage familial ?
Et puis, les anecdotes familiales sont un vrai délice ! « Quand j’étais petit, j’ai failli me perdre dans le jardin… » Oui, c’est bien connu, « se perdre » signifie simplement que j’étais tellement absorbé par une quête épique à la recherche de sauterelles, que j’ai perdu la notion du temps, tandis que les adultes s’efforçaient de percer le mystère du deuxième prénom de l’arrière-grand-père. Quelle aventure palpitante, n’est-ce pas ? Qui aurait cru qu’un jardin pouvait être le théâtre de telles prouesses ?
Alors, chers ancêtres, préparez vous à être célébrés et moqués ! Car derrière chaque nom inscrit dans notre arbre, il y a un enfant prêt à transformer la légende familiale en un spectacle hilarant, où le drame et la comédie se dansent ensemble, main dans la main.
Ici, la vieille malle… Aujourd’hui, une mise au point s’impose :
Chers lecteurs,
Je suis, la nouvelle pâtissière en chef du royaume des souvenirs ! J’ai décidé de me lancer dans la pâtisserie pour rivaliser avec les fameux gâteaux d’Évelyne. Oui, je sais, c’est un défi, mais quelqu’un doit bien faire quelque chose pour équilibrer tout ce sucre !
Alors, préparez vous à découvrir mes créations : les « Muffins Mystères »: je ne suis pas tout à fait sûre des ingrédients et les « Tartes à l’Inspiration » où chaque bouchée est une surprise. J’espère que vos papilles sont prêtes pour l’aventure !
Je vais même organiser un grand concours de pâtisserie pour voir qui peut produire le meilleur dessert… après tout, rien ne vaut un bon drame familial autour d’une tarte qui a échappé à son moule, n’est-ce pas ?
Envoyez moi vos rires et vos conseils (ou votre secours), car je suis déterminée à battre les gâteaux de ma propriétaire à plate couture… ou au moins à faire rire tout le monde !
Avec toute ma farine et un zeste d’humour, je vous donne rendez-vous dans quelques jours pour la recette de novembre.
Ici, la vieille malle… Aujourd’hui, je suis en mode « philosophe en herbe », à faire ma meilleure imitation de Socrate.
La culture et l’héritage sont deux concepts aussi vieux que votre grand-mère, mais tout aussi précieux ! Imaginez un instant que votre héritage me ressemble, parfois poussiéreux, parfois bancale, mais toujours rempli de souvenirs. Et la culture, c’est un peu comme la recette de la fameuse tarte de Tante Raymonde – il y a un secret de famille là-dedans, mais personne n’ose vraiment le demander !
Participer à un défi généalogique, c’est un peu comme chercher des chaussettes dans un tiroir : on ne sait pas toujours ce qu’on va trouver, mais cela peut être très amusant ! On pourrait tomber sur des ancêtres qui ont tenté de danser le tango à un mariage en 1920 et que cela s’est mal terminé ou découvrir que votre arrière-grand-père était un champion de la pétanque – et là, vous vous demandez si ça se transmet par les gênes !
Rassembler des histoires de famille, c’est aussi un vrai sport. Préparez vous à entendre des récits dignes d’un César : « Et puis, ton grand-père est allé à la guerre, mais il a surtout ramené des histoires de sa grande passion pour les crêpes. » Oui, l’héritage n’est pas seulement fait de batailles épiques, mais aussi de dîners mémorables où les crêpes sont la véritable arme secrète !
Et qui peut oublier le moment où vous réalisez que votre famille a une tradition bizarre ? Comme celle de se déguiser en légumes pour Halloween. Oui, on peut dire que c’est étrange, mais cela fait partie de votre héritage ! Et qui sait, vous risquez de découvrir que votre grand-oncle était le roi du costume de carotte.
En fin de compte, la culture et l’héritage sont là pour nous rappeler que nous venons tous d’un arbre généalogique… qui, avouons le, est parfois plus un buisson qu’un chêne majestueux. Alors, plongez dans vos racines avec humour et curiosité, et n’oubliez pas : chaque famille a ses secrets, et il y a toujours un cousin lointain qui pense qu’il est le prochain Picasso – ou le roi de la pizza !
Et accrochez vous à votre histoire, car elle pourrait bien vous surprendre !
Ici, la vieille malle… D’après ma propriétaire, il semblerait que je baragouine… Quelle audace de penser cela !
Je déplore que mon baragouinage vous laisse perplexe, surtout toi, chère propriétaire ! Mais, lis plutôt ceci :
* Selon Le Trésor de la langue française, ce verbe définit effectivement le fait de «parler mal une langue jusqu’à la rendre inintelligible». Mais, son étymologie révèle une histoire bien farfelue : «Ce mot est issu du breton bara, c’est-à-dire «pain», et gwin «vin». «La légende raconte que telles étaient les principales revendications des soldats bretons lors de la guerre franco-prussienne de 1870.» Les officiers français, incrédules devant ce parler, «baragwin» a été défini comme un langage incompréhensible. Fait amusant: «en breton, ‘‘baragouiner » se dit gregachiñ, ce qui signifie littéralement: ‘‘parler grec »!»
Donc en gros, je suis en train de tisser un lien culturel avec tes ancêtres bretons en parlant grec… Quelle richesse historique, n’est-ce-pas !
Peut-être devrais je lancer une nouvelle tendance : le « baragouinage chic ». Qui sait, cela pourrait devenir le dernier cri à la mode dans les salons intellectuels ! Je pourrais même envisager des cours en ligne : « Comment baragouiner avec panache »!
Mais attention, il faudra un bon sens d’humour pour s’inscrire !
Bienvenue dans le monde fabuleux de la malle aux ancêtres ! Oui, vous avez bien entendu, je parle… n’en déplaise à certaine ! Préparez vous à être assaillis par mon bavardage tout au long de ce mois de novembre.
Nous voici dans le coin le plus sombre de la maison, où le temps semble avoir pris une pause café mais, je ne suis pas là pour me la jouer vieille chose en osier. Oh non, j’ai des histoires croustillantes, des secrets sur la généalogie à révéler et même quelques conseils judicieux… à prendre avec humour, bien sûr.
Ah, vous avez décidé de soulever mon couvercle ! Bien joué ! Mais attention, je pourrais vous balancer des secrets que vous préféreriez voir rester bien cachés… Une petite odeur de vieux papier flotte dans l’air, un parfum qui rappelle des souvenirs aussi lointains qu’un voyage en montgolfière en 1825. N’ayez crainte, retirez votre masque à gaz ! Je suis prête à vous montrer mes trésors, même si cela provoque quelques grimaces.
En parlant de trésors, vous allez être comblés… enfin, si par trésors, vous entendez des babioles comme des boutons perdus, des photos floues et des lettres d’amour rédigées à l’envers ; c’est comme une chasse aux trésors, mais sans le trésor. Parfois, je me demande si je ne suis pas un peu folle de garder toutes ces vieilleries, mais, c’est ça qui fait mon charme, non ?
Regardez ces lettres jaunies ! Ce sont les vedettes de mon petit spectacle, chacune avec son propre chapitre d’histoire familiale à raconter. Dans la famille d’Evelyne, par exemple, on adore la romance à l’ancienne… Vous y découvrirez des poèmes que son grand-père écrivait à sa grand-mère, célébrant son fameux ragoût de haricots. Qui aurait cru que des légumineuses puissent faire chavirer les cœurs ? Ces mots sont la preuve que l’amour simple, mais sincère, peut traverser les âges, même à travers des ragoûts.
Si vous ouvrez mon couvercle, rappelez vous que je ne suis pas qu’un tas de vieilleries poussiéreuses… je suis l’âme d’un ballet, où chaque souvenir a sa place sur scène.
Alors, êtes vous prêt à applaudir le prochain acte de notre fascinant et parfois hilarant spectacle ?
Aujourd’hui, je prends enfin la parole après quatre longues années de silence. Je suis la vieille malle aux ancêtres d’Evelyne, et il est grand temps que je partage avec vous mes histoires et mes secrets. Écartée dans un coin, j’ai observé le monde évoluer, mais je n’ai jamais cessé de rêver du jour où je pourrais enfin prendre la parole.
Cette année, avec l’aide d’un ami inattendu – un ordinateur hors d’âge, tout comme moi – j’ai décidé de me lancer dans une aventure audacieuse : rédiger les 26 articles du ChallengeAZ, sans qu’Evelyne, cette affreuse qui m’a réduite au silence, ne s’en doute. Chaque article sera une lettre d’amour à notre histoire, un hommage à ceux qui ont façonné nos vies et nos racines.
Préparez vous à plonger dans un voyage à travers le temps, où chaque lettre de l’alphabet dévoilera un aspect unique de notre histoire. Je vous invite à me suivre dans cette exploration, à découvrir les trésors cachés de notre passé et à célébrer ensemble l’héritage que nous portons.
Restez à l’écoute, car l’aventure commence ici, le 1er novembre prochain !
Parmi tous les patronymes de ma généalogie, se trouve une exception révélant un matronyme : « JEANNE ». Ces « Jeanne » appartiennent à ma lignée maternelle. Dans mon arbre, la dernière à porter le nom est ma trisaïeule, Maria Josephina Alberta Apollonia Valentina JEANNE, Sosa 31-G5. Je vous ai parlé d’elle, ICI.
En remontant cette branche, j’arrive à mon Sosa 993-G10, nommée Jeanne LE SAULNIER, née vers 1690 et décédée le 31 août 1764 à Bretteville-sur-Laize (Calvados). Cette aïeule a eu au moins trois enfants : –François, Sosa 496, né vers 1716, marié le 27/11/1736 à Elisabeth LEFEVRE et décédé le 07/05/1779 à May Sur Orne (Calvados) –Jean, né vers 1726, marié trois fois et décédé le 06/01/1763 à Bretteville-sur-Laize. –Anne, née vers 1723 , mariée le 23/02/1745 à Louis MARC et décédée le 09/01/1763 à Bretteville-sur-Laize.
Jeanne LE SAULNIER a sans doute fait ses enfants toute seule… n’ayant trouvé ni époux, ni père… Les actes de mariage de François, Jean et Anne renseignant les termes « enfants naturels » et « frère utérin » confirment cette hypothèse. Je n’ai, par ailleurs, trouvé aucun acte de naissance, les archives étant lacunaires.
Les trois enfants portent le patronyme « JEANNE » dans leurs actes de mariage et de décès et signent, sauf Anne qui ne le sait pas.
Est-ce l’autorité ecclésiastique et/ou familiale qui leur a imposé leur *bâtardise en leur refusant le nom de famille de leur mère… L’histoire ne le dit pas mais elle a engendré une nouvelle lignée et corrobore, également, que l’origine du patronyme « JEANNE » veut dire : enfant de Jeanne.
*Bâtardise : de l’ancien français « bastard » qui veut dire « né hors mariage »
Pour ce mois de mai, nous vous proposons un Généathème un peu particulier puisque vous allez partir à la recherche de votre double généalogique.
Pour ceux qui ont de la chance, il s’agira de votre homonyme parfait : patronyme et prénom, qu’il soit présent dans votre arbre … ou un inconnu rencontré au détour de la presse ancienne. Mais comme cela n’est pas si simple, vous pourrez également rechercher un ancêtre partageant votre prénom, ou tout simplement vos initiales.
En réalité, j’ai écrit ce billet en 2019. Je l’ai donc retravaillé pour coller au Généathème du mois. A ce moment- là, je parlais d’homonyme et non de double généalogique mais ne jouons pas avec les mots… Je présumais alors, avoir trouvé deux doubles qui avaient dû goûter leur petite heure de gloire à une époque que les moins de 40 ans ne peuvent pas connaître…
La première était comédienne et serait née à Paris, comme moi : Elle fit ses premiers essais dans une pièce de théâtre jouée à Paris en 1926 : Jazz de Marcel Pagnol avec dans les rôles titres : Harry Baur, Pierre Blanchar et Orane Demazis. Mon homonyme, elle, joue le rôle d’une jeune étudiante, Melle Poche ! La voici :
En 1928, elle tient un des rôles principaux dans la pièce : « Les chemins de Buenos Aires » d’après le roman d’Albert Londres paru en 1927.
En novembre 1930, elle joue dans « Marius en bordée », pièce en trois actes de Barencey et A.Denis. Cette pièce fut à l’affiche entre 1900 et 1945.
Puis, elle disparait du monde théâtral…
La seconde était journaliste : (Tiens, tiens, cela me parle car petite, papa qui lisait France Soir, me parlait d’une journaliste qui portait le même nom que moi).
Ses rubriques concernaient entre autres, les potins cinématographiques comme ici en 1959 où elle s’entretient avec Marcel CARNE (1906-1996) et Philippe LEMAIRE, comédien… Mais, j’ai trouvé sur Gallica BNF, moult de ses articles écrits à partir de 1937. (Cliquez sur les zones bleues pour accéder aux articles)
En écrivant ces lignes, je me suis demandée si Evelyne MARLY la comédienne n’était pas devenue Evelyne MARLY, la journaliste. La première disparaît vers 1930 ; la seconde apparaît vers 1937… Bizarre !
Tiens… j’ai dit bizarre !
Bingo… J’ai trouvé un article toujours sur Gallica BNF qui confirme mon intuition – lire : Les coulisses du cabaret – Brevet d’aptitude. et par cet article paru dans Paris-Midi en 1938 :
Et voilà comment une Evelyne peut cacher une autre Evelyne et ce ne sont pas deux doubles, mais un seul que j’ai ainsi trouvé.
Elle semble avoir exercé son métier de journaliste jusque dans les années 1960 (résultat de mes recherches). Qu’est elle devenue par la suite ? Hélàs, je n’ai trouvé aucun autre renseignement la concernant. Généanet et Filaé ne la connaissent pas. Evelyne MARLY était il un pseudonyme ?
Et moi, dans tout cela… Eh bien, je n’ai rien à voir avec cette histoire si ce n’est que le hasard a voulu que mon double et moi partagions un même prénom et un même nom. Mais, il se peut que la fée Internet se souvienne de moi sous mon patronyme marital… Allez savoir !
Sources : Photo : A.R.T regietheatrale.com Journaux : Paris-Soir 16/11/1928 & 19/11/1930 – Paris Midi 19/07/1938 sur Gallica BNF
Le 1er avril 2013, je participais à la première édition du #ChallengeAZ. J’étais alors une blogueuse débutante puisque j’avais créé Ciel ! mes aïeux quelques mois auparavant, en septembre 2012. Lorsque Sophie Boudarel de La Gazette des ancêtres a lancé cette idée, j’ai pensé : « Pourquoi pas » et je me suis engagée le coeur léger et le bagage mince. L’appréhension est apparue en préambule avec la lettre A. Au pied du mur, j’ai écrit :
–Suis-je victime d’un canular ? Ne sommes-nous pas le 1er avril : jour des poissons ! Laissez-moi rire… La plaisanterie est bonne ! Un instant, j’ai cru que je devais écrire un article par jour : Impossible pour moi !
J’ignorais si j’avais matière à utiliser les 26 lettres de l’alphabet et à tenir le rythme, mais finalement, je suis allée au bout du défi. Comme je l’ai spécifié plus tard, ce challenge m’a permis d’entrer par la grande porte dans une communauté fort sympathique, celle des généablogueurs.
La cerise sur le gâteau (à l’époque, je ne parlais pas encore de pâtisserie) a été de découvrir quelques mois plus tard, que la Revue Française de Généalogie parlait de mon blog et avait mis à l’honneur, un de mes billets. Quelle récompense ! Le roi n’était pas mon cousin… ou plutôt, si, il l’était !
Par la suite, j’ai participé à sept éditions du ChallengeAZ. Celle qui a remporté le plus de succès fut celle de 2015 où j’ai partagé les recettes culinaires de nos ancêtres (Mr et moi). Ce challenge m’a demandé plus de six mois de travail, en amont, puisque j’ai cherché chaque recette de A à Z avec leurs origines, réalisé et photographié chaque plat et pour finir, écrit chaque billet. Mais là encore, j’ai été bien récompensée grâce à vos lectures et à vos retours ! C’est d’ailleurs après cette édition que la rubrique Ma Cuisine Ancestrale est née. Cela fera dix ans, l’année prochaine. Il va falloir fêter cela !
Ma dernière participation en 2020 a vu l’intervention inopinée de ma « vieille malle ». Là encore, vous avez été très nombreux à apprécier le discours de ce coach très particulier.
Aujourd’hui, Sophie Boudarel a passé la main à Geneatech et l’aventure continue. Que de souvenirs ce ChallengeAZ ! Si ce n’est déjà fait, je vous encourage à participer à cette aventure révélatrice sur nos capacités à raconter nos ancêtres. Quelle fierté pour eux et pour nous !